mardi 3 janvier 2017

Google et les sites pornographiques ( et pédopornographiques), encore un effort?

Ce billet de blog a été partagé le 30/04/2015
Depuis, l'algorithme de Google est  censé traquer certains contenus...
Qui sait? 

À propos du filtrage sur Google¨+, lisez cet article :


Le problème que je voudrais aborder dans ce billet d'humeur, c'est la recherche simple avec Google, qui permet à n'importe quel utilisateur d' entrer en contact  avec des contenus pornographiques ou parfois pédopornographiques.
Google était censé filtrer certains résultats, certains sites. 
J'ai testé Google Safe Search  avec une recherche précise : effectivement, le résultat atteste de filtres qui éliminent  certains résultats.

Mais si on n'active pas Safe Search, on retrouve en première page des dizaines de sites pornographiques, que des enfants peuvent consulter. Sans rechercher aucunement des contenus pornographiques.  D'ailleurs, les enfants les diffusent sur leur timeline Twitter : le succès est garanti dans les cours d' école. Un indice : une recherche avec un mot-clé Disney ( voir d'autres billets de mon blog à ce sujet).

Les classiques  de Disney en versions pornographiques sont diffusés en accès libre. 
Est-ce que Google ne peut filtrer et éliminer ces sites de ces pages de résultats accessibles aux mineurs ? Ou va-t-on encore voir les pourfendeurs de la liberté d' expression hurler au scandale ? 

La société Disney ne pourrait-elle pas intenter un procès à ces sociétés qui détournent son image ? Ou faut-il comprendre qu' elle perçoit des droits d'auteurs ? 

La société Disney en France à laquelle j'ai écrit ( à propos du Fâches-Thumesnilois et d'un Ronchinois abonné sur Twitter à Disney Porn, compte supprimé) m'a répondu que la législation française ne lui permet pas de faire un procès aux diffuseurs de ces contenus porno.

Et aux USA, c'est la même  chose? 

Donc, Google Engine Search référence Disney Porn et Disney version X.

Vous voulez visionner des  photos d'ados sexy ? Il semble qu' il n' y ait aucun problème, que ce soit via Facebook ou Twitter ou par l'intermédiaire de Google, vous avez des milliers, des centaines de milliers de sites à votre disposition. Je n'ai pas testé, ce qui serait illégal. Mais de nombreux articles attestent de cette réalité. 

 Des banques d'images libres de droits sur cette thématique s'affichent sur la première page d' une recherche (authentique), vous avez aussi des pornodromes vidéos TV , et des vidéos qui ont dû être tournées avec des webcams. Précisons que je ne regarde pas ces cochonneries, non, je lis la page de résultats affichée par Google Engine Search et je déchiffre les URL. Les trois premiers résultats pour ma recherche avec deux mots-clés renvoient vers des pages Facebook. Donc, sans surprise pour la diffusion de pédopornographie : Facebook se distingue. C'est connu. 

J'ai tout de même trouvé un blog de jeunes filles qui diffuse des vidéos ( ou qui promettent de la faire, je n'ai pas visionné leurs production ) tournées avec leur webcam, et dont le contenu s' avoue HOT. On comprend que les demoiselles sont mineures en lisant l' URL.
Donc Google référence des contenus pédopornographiques , très facilement accessibles. Il est évident que ces URL ont été signalées par mes soins, mais dans l'univers exponentiel du Web, cela sera-t-il utile? 

Qu' on ne vienne pas de parler du droit des enfants à s' exprimer.
Des milliers d' informaticiens et de mathématiciens travaillent pour la société Google : n' y a-t-il pas moyen de ne pas rendre visibles certains sites ?

Pour une recherche simple, dont les mots-clés ne comportent pas de références directe à de la pédopornographie enfantine, ou mettant en scène des Ados, on trouve une page de résultats proposés par Google, après des URL renvoyant vers des contenus anodins, les séries TV préférées des Ados un résumé renvoyant vers un site en .com qui propose des clips de sexe mettant en scène des  adolescents, site en langue anglaise.


GOOGLE : encore un effort dans la lutte contre la pédopornographie ?





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