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"La pédophilie est une lèpre que seule peut vaincre une vigilance sans cesse renouvelée".
"La pédophilie est une lèpre que seule peut vaincre une vigilance sans cesse renouvelée".
On pourrait paraphraser les platitudes de l'écrivain qui se croit
du génie.
L'"écrivain" pédéraste, pédophile, célébré par les
médias, et parfois par l'institution littéraire est toujours actif. Son
blog annonce qu'un nouvel Opus du maître sera disponible en 2017, en janvier. Un
éditeur n'aurait pu résister à l'idée d'éditer le "sublime Matzneff
". Vous lirez et découvrirez les péripéties auxquelles cet écrivain
amateur d'enfants a été confronté avec les Dominicains. Un homme sensible,
Matzneff ? Un homme blessé ? Il est bien triste de constater qu'il a encore des soutiens.
[ajouté en février
2017 : une librairie va d’ailleurs recevoir The Gab en mars afin qu’il
évoque son dernier opus]
Un pédophile déclaré qui n'a
connu que la lumière de la célébrité et a échappé à la prison.
Un homme qui a néanmoins
des disciples dans le petit monde littéraire. Un homme célébré pour sa plume
(par des personnes qui n'ont jamais dû lire un écrivain, Rabelais, Oates,
Sarraute, ou Montesquieu par exemple). Pour son aisance à invoquer les ombres,
pour la fluidité de sa langue...
Un ami de Gabriel Matzneff, un membre du cénacle parisien a publié
cet article époustouflant (de bêtise) sur l'écrivain qui aime les petits
garçons et les petites filles. Selon lui, Christopher Gérard, l'évocation de
Matzneff est digne d'un "mage de l'ancienne religion". Rien que ça !
La lecture du passage ne m'a guère transportée.
En revanche, Christopher
Gérard, écrivain et critique belge, a été ajouté à la liste des « amis »
de Gabriel Matzneff, écrivain qui encense la pédophilie. Les amis du Gab ne
sont pas mes amis.
Pour la lecture de l'article,
c'est ICI :
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