J'avais trouvé un PDF particulièrement intéressant, un mémento à l'usage des entraîneurs sportifs, diffusé par le Préfet de la région Ile-de-France :
DRJSCS d’Ile-de-France
Que la justice soit lente, qu'elle commette des erreurs, que les enquêtes sur le web soient complexes , c'est certain.
La maltraitance, par exemple, c'est considérer que des contenus pornographiques mis à disposition de mineurs, ou d'adultes adhérents d'un club sportif , ou non adhérents mais inclus dans un réseau relationnel, ne sont pas dommageables pour le devenir d'adultes en construction. Les valeurs du sport ne devraient pas être compatibles avec la valorisation de la pornographie ou de blagues débiles mais dangereuses sur Hitler " champion du monde ".
Mémento
à l’usage des éducateurs, formateurs
intervenants sportifs, professionnels et bénévoles pour lutter contre la
maltraitance « Préserver l’intégrité physique et morale des sportifs
mineurs ».
La ressource n'est plus en ligne à cette adresse en 2017, je l'avais lue et téléchargée, mais elle reste disponible ICI :
http://ile-de-france.drjscs.gouv.fr/spip.php?article548
Le document prouvait s'il en était besoin que les signalements que j'ai faits ( en 2014 pour le premier) étaient parfaitement motivés. La diffusion de contenus violents, pornographiques, des insultes à caractère raciste ou sexiste, sur un réseau social, en profil public relève du cyber harcèlement mais sans doute également de la notion de corruption de mineurs. Un mineur peut en être l'auteur mais si des adultes qui encadrent des jeunes sont également les auteurs des faits, ils sont encore plus coupables que les mineurs.
Ce PDF qui est une ressource institutionnelle ne disculpe pas absolument pas des membres d'un club sportif qui auraient eu connaissance des faits. http://ile-de-france.drjscs.gouv.fr/spip.php?article548
Le document prouvait s'il en était besoin que les signalements que j'ai faits ( en 2014 pour le premier) étaient parfaitement motivés. La diffusion de contenus violents, pornographiques, des insultes à caractère raciste ou sexiste, sur un réseau social, en profil public relève du cyber harcèlement mais sans doute également de la notion de corruption de mineurs. Un mineur peut en être l'auteur mais si des adultes qui encadrent des jeunes sont également les auteurs des faits, ils sont encore plus coupables que les mineurs.
Que la justice soit lente, qu'elle commette des erreurs, que les enquêtes sur le web soient complexes , c'est certain.
La maltraitance, par exemple, c'est considérer que des contenus pornographiques mis à disposition de mineurs, ou d'adultes adhérents d'un club sportif , ou non adhérents mais inclus dans un réseau relationnel, ne sont pas dommageables pour le devenir d'adultes en construction. Les valeurs du sport ne devraient pas être compatibles avec la valorisation de la pornographie ou de blagues débiles mais dangereuses sur Hitler " champion du monde ".
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.